JEUDI CINÉMA #57 : STALINGRAD

JEUDI CINEMA THE CONSERVATIVE ENTHUSIAST

Nous poursuivons avec cet article, notre liste de recommandations de films, qui nous l’espérons, saura vous plaire et vous faire découvrir ou revisiter les œuvres anthologiques du cinéma qui sont selon nous primordiales à connaître.

Cette liste de films concoctée par nos soins est nommée “JEUDI CINEMA“, elle est numérotée et vous pouvez la retrouver dès maintenant dans la rubrique Cinéma de notre site.

Cette semaine, on découvre l’envoûtant film : Stalingrad

Pendant la Seconde Guerre Mondiale, les allemands se répandirent comme une trainée de poudre à travers toute l’Europe, grâce à la fameuse Blitzkreig. En un temps éclair, l’allemagne Nazie avait conquis tout, tel un rouleau compresseur. Enfin presque tout, car le dernier rempart en Europe qui n’avait pas encore cédé, était l’URSS. Et face à elle, les allemands comprirent peu à peu qu’ils s’étaient heurtés à un mur.

Et c’est à Stalingrad, qui est sans doute la bataille la plus décisive de la Seconde Guerre mondiale, que tout se joua et que les soviétiques tenirent bon coûte que coûte, dans des conditions atroces, face au monstre nazi.

Parmi les héros soviétiques ayant résisté à cette immense bataille de Stalingrad, l’un deux à fait particulièrement parler de lui : Vassili Zaïtsev

Ce film, réalisé par JeanJacques Annaud , raconte son histoire.

À l’affiche du film, on retrouve les acteurs :

Jude Law, Joseph Fiennes, Rachel Weisz, Ed Harris et bien d’autres.

Pourquoi il faut regarder ce film ?

Basé sur une histoire vraie, le film Stalingrad, plus connu par les anglophones sous l’autre titre “Enemi At The Gates” nous offre une représentation complète et assez fidèle de la bataille de Stalingrad, qui fut sans doute la plus meurtrière, la plus importante et la plus fatidique de toute la guerre.

Ne pouvant plus reculer, dos au mur, l’armée soviétique n’eu d’autres choix que d’employer des moyens déséspérés et radicaux pour s’assurer la victoire. Complétement pris au dépourvu et en pleine réorganisation interne, l’union soviétique ordonna à ses soldats de tout faire pour stopper la vague allemande, coûte que coûte.

Staline en personne, pour mettre en marche le rouleau compresseur soviétique, proclama l’un des ordres les plus réputés aujourd’hui, le fameux ordre 227. La logique est simple, plus un pas en arrière, tout soldat qui bat en retraite sera executé par ses propres officiers.

Enemy at the Gates
Les soldats soviétiques n’ayant plus le choix : mourir pour la patrie, ou mourir en traitre.

Et c’est dans ce contexte catastrophique que l’on suivra le héros du film, un jeune fermier de la Russie profonde, qui deviendra l’un des snipers les plus renommés de l’Histoire.

Tireur hors pair, il deviendra, avec son ami propagandiste qui l’utilisera comme un symbole pour motiver les troupes, le fer de lance de l’armée rouge.

Peu à peu, il fera peser une ombre sur l’armée allemande et minera fortement leur motivation, tout en redonnant de l’espoir à ses camarades.

Il gênera tellement les nazis, qu’ils feront venir l’un de leurs meilleurs snipers, pour un face à face anthologique. Un jeu de chasse, tel le chat et la souris, qui déterminera quasiment l’issue de la bataille de Stalingrad.

Cette histoire, dépeinte au long du film, est un exemple de l’extrême difficulté de la période que fut la Seconde Guerre mondiale, qui bouscula le monde.

On vous recommande donc fortement de visionner ce long métrage, en découvrant d’abord sa bande annonce.

Surtout n’hésitez pas, une fois le film visionné, à nous donner vos retours  en commentaires en bas de cet article ou sur nos réseaux sociaux.